Le Conseil des commissaires de la Commission scolaire des Patriotes (CSP) a adressé une nouvelle demande d’allocation au ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur (MEES) pour l’ajout d’un gymnase et d’une classe dédiée à l’accueil des maternelles 4 ans temps plein à l’école Saint-Charles à Saint-Charles-sur-Richelieu.
Analyse complétée pour toutes les écoles primaires du territoire
Le 5 novembre 2019 dernier, le Conseil des commissaires autorisait le dépôt de six demandes d’ajouts d’espace dans le cadre du Plan québécois des infrastructures (PQI) 2020-2030. À la lumière des capacités d’accueil des écoles primaires proposées par le MEES, les secteurs ayant un manque d’espace avaient été priorisés, soit Belœil, Boucherville, Contrecœur, McMasterville et Saint-Bruno-de-Montarville. À ce moment, il avait été annoncé que la CSP poursuivrait des travaux de validation avec le Ministère avant la fin du mois de décembre 2019 pour compléter la vérification des autres secteurs de son territoire. L’analyse des écoles primaires est maintenant complétée pour tous les secteurs de la CSP.
Besoins d’espace à l’école Saint-Charles
Ainsi, la capacité d’accueil de l’école Saint‑Charles a été revue en fonction des normes établies par le Ministère, permettant ainsi à la CSP de déposer une nouvelle demande pour ajouter un gymnase à cette école.
Puisque la planification des besoins en locaux pour le déploiement des classes de maternelles 4 ans temps plein d’ici 2023‑2024 est en cours, cette demande d’ajout d’espace pour un gymnase inclut aussi l’ajout d’une classe dédiée à l’accueil des enfants de maternelle 4 ans temps plein pour cette école.
« Cette demande d’ajout d’espace correspond en tout point aux orientations de la CSP, soit l’importance d’offrir des milieux d’apprentissage stimulants, sains et sécuritaires à tous nos élèves de même que des possibilités variées d’être physiquement actif. Ce nouveau gymnase à l’école Saint-Charles saura répondre aux besoins de nos élèves et contribuera certainement à leur réussite. Nous souhaitons évidemment que le ministre réponde favorablement à notre demande » explique madame Roberge, présidente de la CSP.