Il ne manque plus qu’une autorisation pour permettre au Centre de formation du Richelieu, point de service Chambly, de déménager ses locaux. Après un peu plus d’un an de démarches, de nouveaux locaux ont été trouvés afin de mieux répondre aux besoins de la clientèle.
Le centre de formation qui avait pignon sur l’avenue Bourgogne devrait déménager en septembre dans une nouvelle construction à l’intersection du boulevard Industriel et de la rue Simard.
«Cette année, nous avons dû garder des gens sur une liste d’attente car l’espace était manquant, autant dans les classes que dans la salle commune ou les toilettes», explique Céline Frénette, directrice du Centre de formation Richelieu.
Lors de l’ouverture du centre, une cinquantaine de personnes profitaient des cours. Aujourd’hui ce nombre varie entre 250 et 300 élèves à temps partiel et à temps plein. «Au cours des dernières années on a vu une progression du nombre d’élèves et de la demande. On continue à voir une augmentation de la clientèle. Le nouvel environnement nous permettra de mieux répondre aux besoins et d’offrir une meilleure qualité de vie avec, entre autres, une salle commune plus spacieuse», ajoute Mme Frénette.
Les nouveaux locaux pourraient aussi permettre de répondre aux besoins des entreprises en formation ou d’offrir des services en alphabétisation. Ces services existent dans d’autres points de service mais, faute d’espace, Chambly ne pouvait pas les offrir. Mme Frénette croit que ce déménagement favorisera le service direct aux entreprises et répondra dans les prochaines années, aux besoins de la clientèle de Chambly.
Depuis un peu plus d’un an, on cherchait un nouveau local. Au centre on espérait récupérer une partie de l’école ou une école primaire mais même du côté des plus jeunes, il y a eu croissance du nombre d’élèves. Dans Chambly, il n’y avait rien qui répondait aux besoins du Centre de formation jusqu’à ce qu’ils rencontrent un promoteur qui accepte de leur louer des locaux. «La construction devrait commencer avec le dégel. Et même s’il manque toujours une autorisation pour y relocaliser nos locaux, le promoteur est confiant que l’autorisation sera donnée», conclut Mme Frénette.